Le Best-Of de l'été

Pour ce dernier numéro avant les vacances, on vous propose un petit best-of de certains de nos épisodes 40 Nuances de Next, Cash Out et Plantés à (re)découvrir durant l'été.

Les Nouveaux Narrateurs
10 min ⋅ 19/07/2025

Derrière Les Nouveaux Narrateurs, il y a FeuilleBlanche, producteur de médias, podcasts et récits stratégiques pour les marques.
Un projet à lancer ou un message à affiner ?


Plus qu’un simple temps off,
C’est un pas de côté.

Pas pour fuir.
Pour mieux voir.

On passe l’année à zoomer : sur les urgences, les deals, les contenus.
On zoome sur nos boîtes, sur nos clients, sur nos équipes. Et parfois, on s’oublie dans le cadre.

Alors l’été, on dézoome.

On redonne du champ.
On change l’angle.
On réévalue la ligne.

C’est dans ces moments de recul qu’on comprend ce qu’on a réellement construit.
Et pourquoi on l’a fait.

C’est ce que permet aussi cette dernière newsletter de la saison : revenir sur ce qui a compté.
Ce qu’on a particulièrement aimé produire. Ce que vous avez aimé écouter.

Parce qu’à travers leurs histoires, leurs parcours,
Ces voix nous permettent, à leur manière, de prendre du recul.

Bonne écoute, et surtout bon été,

Solène Etienne et Thomas Benzazon, cofondateurs de FeuilleBlanche


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Si cet édito vous a touché, fait réfléchir ou donné envie d’en parler autour de vous…

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C’est comme ça que notre cercle grandit, une plume à la fois.


Le Best-Of de 40 Nuances de Next et Sista

« La meilleure manière d’apprendre, c’est d’apprendre de ses pairs », voilà la conviction de Julie Ranty, co fondatrice de Pollen, une plateforme de formation lancée en 2023 qui réinvente la formation professionnelle et l'apprentissage tout au long de la vie, en donnant accès aux meilleurs experts tech & business.
Julie commence sa carrière aux Echos et y lance les Echos Start. Puis elle travaille sur le lancement de la première édition de VivaTech, et en devient la directrice générale dès la 2eme édition et ce jusqu’a ce qu’elle décide en 2022 de passer de l’autre côté de la barrière et se lancer dans le grand bain de l’entrepreneuriat après avoir beaucoup appris aux côtés de Christophe Victor et Francis Morel aux Echos et de Maurice Lévy à Vivatech.
Elle a eu envie de donner cette chance à d’autres d’apprendre des meilleurs. Son objectif : apprendre des meilleurs, en présentiel, et changer les formateurs.

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Qui est vraiment Julian Jacob, le nouveau visage de Qui Veut Etre Mon Associé, saison 5 ?
Toutes les réponses dans cet épisode.
Avec Wyncor, il cherche à jouer les troubles-fêtes dans le secteur du jouet, pourtant dominé par une poignée d’acteurs historiques. En misant sur le modèle des licences, il bouleverse aussi les codes en réinventant la chaîne de valeur et en proposant une conception 100% digitale.
Mais ce succès avec Wyncor est en réalité l’aboutissement d’années de résilience. À 16 ans, il arrête l’école, enchaîne les petits boulots, et voit une opportunité lorsqu’il visite un peu par hasard un local commercial. C’est le début de sa vie d’entrepreneur. Il se lance dans l’immobilier commercial, voit l’activité croitre rapidement et cède 4 ans plus tard.

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Charlotte Couailler ne cochait aucune case de la Startup Nation.
Pas d’HEC, pas de réseau, pas de modèle familial. Mais à 13 ans, elle passait ses week-ends en LAN-party, à coder en baggy et baskets.
Aujourd’hui, elle dirige Dattak, une Insurtech de rupture qui protège +2200 entreprises contre les cyberattaques, avec une assurance qui agit avant, pendant et après l’attaque.
Dans cet épisode de 40 nuances de Next, elle raconte :
- Pourquoi elle a quitté AXA pour entreprendre
- Comment elle a levé des fonds sur un PowerPoint
- Pourquoi les hacker ne visent pas les “gros” mais les moins préparés
- Ce que ça change de ne pas cocher les cases habituelles - Comment elle accompagne d’autres femmes entrepreneures.

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Maxime Demeure a lancé Madbox avec 100€ de capital dans sa chambre d’ado.
Aujourd’hui, il fait 60M de CA, a levé plusieurs dizaines de millions qu’il n’a toujours pas utilisés, et ses jeux ont été téléchargés plus de 600M de fois.
Quand il démarre à 22 ans pendant ses études, il doit convaincre les sceptiques, à commencer par sa mère. Pour ça, Maxime est prêt à tout, quitte à picther déguisé en Pac-Man. La mission de Madbox est simple : donner le sourire à des millions de joueurs.
La méthode de Maxime et ses associés est claire : miser sur l’équipe plus que sur le produit. Ils sont convaincus que l’échec fait apprendre - Maxime explique d’ailleurs “qu’ils ont appris à avoir tort”.
Mais Maxime, c’est aussi et surtout un entrepreneur passionné et compétiteur. Il n’aura réussi que lorsque tous les gens qu’il croisera dans le métro le matin joueront à l’un de ses jeux. Pour ça, il “s’est donné le temps de prendre des risques” en levant plus de 15M d’euros qu’il n’a toujours pas utilisé !

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Pauline Boucon Duval (Groupe Duval) raconte comment elle a repris et transformé l’entreprise familiale. Comment reprendre une entreprise familiale sans se contenter d’en hériter ?
Dans cet épisode, Pauline Boucon Duval, aujourd’hui à la tête du Groupe Duval, revient sur le pari le plus risqué de sa vie : reprendre et transformer le groupe fondé par son père.
À seulement 25 ans, Pauline quitte New York pour rejoindre le groupe. Il ne s’agit pas de reprendre une entreprise, mais d’aider à la développer. Pas de pression. Pas d’obligation. Juste une opportunité. Et elle la saisit.
Elle commence par repenser les fondations : valeurs, raison d’être, vision à long terme. En 2024, nouveau cap : le Groupe Duval devient entreprise à mission. 1 milliard de CA, 6 000 collaborateurs, trois piliers : immobilier, finance, tourisme. L’entrepreneuriat comme ADN.

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Le Best-Of de Cash Out

Une nuit blanche. Des avocats à bout de nerfs. Une fondatrice épuisée.
Un accident de scooter, les jambes en sang, mais quand même au rendez-vous qui changera sa vie.
Et des négociations où, sans consulter personne, elle balance un bluff à la “Vérité si je mens” : “fois trois” la valo, et ça passe.
Et cette cession qui refuse de se laisser signer..
“Si ça ne se fait pas… je ne sais pas comment on rebondit.”
Dans cet épisode de Cash Out, Marie Sermadiras, cofondatrice de ZenSoon, première plateforme française de réservation en ligne de soins beauté et bien-être, raconte les coulisses d’une vente bien différente des clichés de la tech et des Exits records qui font réver.
En 2015, ZenSoon est le leader français du secteur, mais pour survivre face à l’accélération du marché européen, la startup choisit de s’adosser à Wahanda, géant britannique du bien-être en ligne, futur Treatwell. Une cession modeste, structurée avec earn-out, mais stratégique : rejoindre un acteur plus puissant pour jouer la consolidation du marché européen.

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Le jour où il vend Alltricks, Gary Anssens sent l’émotion monter. Pas à la table des avocats. Pas devant ses associés. Mais en rentrant chez lui, en regardant ses enfants jouer dans le jardin.
Peu voient les années et leur lot de montagnes russes qu’il a fallu traverser pour en arriver là. Les nuits blanches, les doutes, la douleur dans le dos, le titane dans la colonne vertébrale – littéralement.
Peu peuvent projeter le parcours de l’entrepreneur qui, parti de rien, a bâti Alltricks, un leader de l’e-commerce dans le sport outdoor. Un projet presque né sur un lit d’hôpital, devenu un acteur si incontournable… qu’un jour, même Decathlon va toquer à la porte.
Mais tout ne s’est pas passé exactement comme prévu.
Au départ, Gary ne veut pas vendre. Il veut lever. Racheter un concurrent. Aller plus vite. Il démarre un tour de table. Et puis, un soir, au détour d’une conversation sur une péniche avec un de ses partenaires, une autre piste s’ouvre. Discrète. Inattendue. Décathlon.
Alors commence une valse étrange entre deux mondes. Le monde ultra-processé de l’industriel, avec ses juristes, ses sujets évidents de conformité, ses obligations liées à l’autorité de la concurrence… Et le monde de Gary, plus intuitif, plus sensible, plus libre, plus startup. Un décalage qui va notamment provoquer des petites tensions après une énième série de questions durant la due diligence.

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Fariha Shah a la négo dans la peau.
La cession de sa boite Golden Bees au Groupe Figaro ce sera trois négos à gérer pour un exit : les associés, le deal, la sortie.
La première est avec ses associés. Golden Bees existe depuis à peine 4 ans. La croissance est exponentielle pour cette solution de recrutement programmatique qui permet de générer des candidatures qualifiées. Mais Fariha sent que le marché commence à se tendre. Elle doit alors convaincre ses associés, dont son mari, de vendre plutôt que de lever des fonds.
La seconde négo concerne le deal en lui même. Le Groupe Figaro s’impose assez naturellement aux yeux de Fariha : c’est un client, mais aussi un grand groupe capable de supporter les tensions du marché. Malgré ça, les négos sont tendues, notamment au sujet d’une clause liée aux données privées des clients. Une clause qui conduira d’ailleurs Le Figaro a posé les stylos quelques jours avant le signing, mettant le deal en péril.
La troisième négociation intervient 2 ans après le closing. Fariha est lockée 4 ans, mais les synergies ne sont pas là, certaines promesses ne sont pas tenues et Fariha décide de quitter le Groupe Figaro plus de 2 ans avant ce qui était convenu. Après avoir eu du nez, encore, en investissant dans OPenAI, elle relance un projet ambitieux, encore, dans l’IA avec son mari.
Même entrepreneure joue encore, et la reine de la négociation ne bluffe pas !

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Sa cession d’ImagiNet à Colt Télécom, Patrick Robin la résume ainsi : “Beaucoup d’intuition, de la chance, et un petit peu d’habilité”.
Dans cet épisode, Patrick Robin, pionnier de l’Internet en France, raconte l’incroyable aventure d’ImagiNet. Cette entreprise, née en 1994, révolutionne l’accès à Internet avec une offre illimitée qui fera école. Mais derrière ce succès apparent se cache une réalité complexe : des finances fragiles et un dépôt de bilan imminent, un marché balbutiant et un actionnaire surnommé "Judas" qui tentera de saboter la vente.
Patrick nous entraîne dans les coulisses de cette cession, où les rebondissements sont dignes d’un thriller. Entre un marathon de négociations jusqu’à 3h du matin, des enchères qui s’envolent jusqu’à 120 millions, et des imprévus comme une fuite d’information sur une plage, chaque détail compte.
Vous découvrirez comment Patrick, grâce à son intuition et à des manœuvres stratégiques, a transformé une situation désespérée en victoire entrepreneuriale.

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Vous le connaissez juré dans Qui veut être mon associé, mais connaissez-vous l’histoire de Jean-Pierre Nadir et de sa cession d’easyVoyage à Webedia ?
En 2000, il a une ambition : transformer l’univers du voyage grâce à Internet.
À l’époque, peu croyaient en la révolution numérique, et encore moins dans un comparateur de prix pour un secteur aussi traditionnel que le voyage.
Les premières années sont donc difficiles : il faut convaincre des investisseurs sceptiques, lancer un modèle trop en avance sur son temps, et gérer le stress de la survie.
Après 2 premières années sans CA, vient le déclic. L’essor de la billetterie en ligne, notamment avec la SNCF, change la donne. Easyvoyage devient petit à petit une référence et leader sur son secteur.
Mais en 2015, la concurrence est féroce, Easyvoyage doit se battre face à des ogres aux moyens colossaux. Et après avoir refusé plusieurs fois de céder, Jean-Pierre Nadir doit se rendre à l’évidence : pour continuer à exister, la seule solution est de vendre.

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Le Best-Of de Plantés

Il voulait battre Facebook sur son terrain, mais il a fini par perdre.
C’est l’histoire d’un homme qui avait déjà réussi. Pascal Lorne venait de vendre sa première boîte, Miyowa, à prix d’or. Il avait 500 millions d’utilisateurs en base, une techno qui avait équipé Facebook et Twitter. Il aurait pu tout arrêter là. Prendre le cash. Lever le pied.
Mais il y avait cette idée. Une obsession. Créer un réseau social meilleur que Facebook. Plus humain, plus fun, plus intuitif. Il n’en parle à personne. Pas même à ses acheteurs. Il crée Let.com, dans le plus grand secret, avec ses anciens associés. Il met des millions sur la table. Monte une équipe dans l’ombre. Achète le nom de domaine 80 000€. Première erreur.
Dès les premiers jours, les signaux faibles s’accumulent. Un nom introuvable sur Google. Des prototypes qui n’enthousiasment personne, même pas sa famille. Lui, il fait semblant de ne pas entendre. Il transpire la nuit, en silence. Il se persuade que ça va marcher, parce que ça a toujours marché. Parce qu’il n’a jamais échoué.Un épisode à retrouver juste ici

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Sandra Rey n’aurait jamais pu anticiper son aventure avec Glowee.
Tout commence en 2013. Sandra est étudiante en design et participe à un concours sans trop y croire. Elle a 22 ans, pas d’expérience, juste une intuition. L’idée ? Révolutionner l’éclairage urbain avec de la bioluminescence. Une lumière vivante, inspirée des profondeurs des océans.
Quelques slides PowerPoint, quelques images Photoshop… et tout bascule. Elle gagne le concours de son école.
La presse s’emballe. Le projet fait parler de lui. Des maires, des investisseurs, des multinationales veulent acheter son produit… qui n’existe pas encore.
Mais, cela n’arrête pas Sandra. Elle trouve un laboratoire, lève ses premiers fonds, embauche une équipe. Tout le monde y croit. Glowee devient un symbole d’innovation. On la félicite, on l’admire, on lui prédit un destin extraordinaire. Elle pitche devant Xavier Niel - même si l'essai n'est pas transformé -. Quelques années plus, elle participe à un elevator pitch à la Tour Eiffel qui lui rapportera 100 000 euros, et elle fera une première campagne de crowdfunding qui réunira 650 000€ en 10 jours. Sandra recrute une équipe de scientifiques, fait partie des délégations internationales pour voir où et comment commercialiser le produit. Bref, tout semble au vert Mais derrière les projecteurs, une autre réalité se dessine. Bien que résistante et combative, Sandra se heurte à des sujets réglementaires. Elle teste d'autres marchés, teste d'autres technologies et décide de diversifier son offre et finalement de changer de technologie.

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L’aventure entrepreneuriale de Vincent Redrado commence avec The Tops, une boîte lancée avec passion, culot, et un rêve : créer la marketplace la plus désirable de France.
Un modèle importé des les États-Unis, des débuts soutenus par les fondateurs de Price Minister, des personnalités comme Thierry Marx et Etchebest embarquées au bluff, et une première version du site... splendide, mais inutilisable.
Vincent apprend à toute vitesse. Il découvre le feedback client, la prise de recul, remettre en question ses certitudes, et surtout : la vérité du terrain. Quand il comprend que les clients ne veulent pas acheter un couteau à 200€ recommandé par une star de Top Chef, le mythe s’effondre.
Mais il pivote. Il bosse. Il trouve un nouveau modèle. Et ça marche : les ventes explosent. Puis viennent les pop-up stores, les marques propres… jusqu’à l’hiver 2015.
Le budget et la trésorerie ne sont pas bien tenus. Il pensait tenir un an, il ne lui reste que deux mois.
Réunion de crise avec ses actionnaires : il faut vendre.

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En 2018, Mathilde Lefrançois cofonde Farmitoo avec l’ambition de révolutionner le secteur du agricole européen en digitalisant l’offre de matériel et pièces détachées.
À seulement 26 ans, elle réunit une équipe multiculturelle, ouvre sept pays en trois ans, et réussit une levée de fonds en série A de 10 millions d’euros. Mais derrière cette croissance spectaculaire, une réalité plus sombre se dessine.
Dans cet épisode, Mathilde revient sur les moments forts de son aventure :
- La rencontre improbable avec son futur associé Denis Fayolle, cofondateur de La Fourchette, qui débarque en Équateur pour la convaincre de se lancer.
- Les débuts exaltants où les premières ventes déclenchent anecdotes inattendues, comme une commande envoyée à La Réunion par erreur.
- Le succès initial et les défis de bâtir une équipe de 90 personnes en pleine expansion internationale.
- Les premières fissures : des erreurs stratégiques, une dépendance au webmarketing, et une course au volume d’affaires qui s’avèrent fatales.
- Les décisions déchirantes : licenciements massifs, fermeture de pays clés, et une ultime tentative de vendre la société.

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Tout part d’un coup de bluff. En 2015, Bertrand Fleurose n’a ni produit, ni équipe, ni fonds. Mais il convoque un journaliste, annonce le lancement de 1 000 scooters électriques en libre-service à Paris. Le lendemain, il est contacté par le mairie de Paris pour officialiser leur collaboration. De cette audace naît Cityscoot.
Quelques mois plus tard, trois ingénieurs bricolent un prototype, des scooters sont déposés dans la rue, et le service démarre.
En 2016, c’est le lancement officiel. En 2017, c’est l’hypercroissance. Il déploie Cityscoot dans plusieurs ville européenne, signe - non sans mal - un partenariat avec Uber, et enchaine les levées de fonds. Le rêve. Il refuse même de cash-out. « Il y aura une autre levée encore plus importante, je ne cash-out pas », dit-il à son banquier. Erreur fatale.
Le COVID arrive. Il finit l’année 2020 tant bien que mal. Mais arrive un phénomène qu’il n’avait pas prévu : le télétravail. Les nombres de “rides” diminuent drastiquement, et Cityscoot n’est toujours pas rentable.

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(Re)Découvrez le média The Human Hack

Le podcast qui explore dans chaque épisode, les liens entre santé intégrative, performance et conscience du vivant – chez les leaders, entrepreneurs et professionnels engagés

Ingénieure diplômée de l’École polytechnique et d’AgroParisTech, elle a consacré plus de 15 ans à la recherche en biologie moléculaire et à l’industrie pharmaceutique.
Elle a notamment travaillé sur des traitements majeurs contre le VIH et la maladie de Crohn, participant à des projets au cœur de l’innovation médicale.
Au fil de son parcours, elle constate que de nombreux patients se tournent spontanément vers les médecines complémentaires pour soulager douleurs et effets secondaires. Devenue mère de trois enfants, elle expérimente elle-même ces approches, notamment pendant ses grossesses, et en mesure concrètement les bienfaits.
En 2016, elle fonde Médoucine, une plateforme pionnière dédiée aux médecines complémentaires. Son objectif : faciliter l’accès à des praticiens de confiance (naturopathes, sophrologues, hypnothérapeutes, etc.) et contribuer à la professionnalisation de ce secteur encore trop peu structuré.
Avec elle, nous avons exploré ce que sont vraiment les pratiques complémentaires, pourquoi leur définition reste floue, comment la confiance est essentielle pour avancer, et en quoi surmonter la peur de l’autre, souvent alimentée par les médias, est la clé d’une santé plus ouverte, plus humaine, et véritablement collaborative.

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Ingénieur de formation, Michel Girou a d’abord enseigné pendant près de 40 ans les sciences industrielles, notamment en classes préparatoires.
Dès les années 1970, parallèlement à sa carrière dans l’Éducation nationale, il se passionne pour les approches corporelles et devient professeur de yoga, révélant déjà une sensibilité au lien entre corps et esprit.
Formé à la naturopathie auprès d’Alain Rousseau, l’un des grands noms de l’hygiénisme en France, il devient naturopathe en 1995. Depuis, il exerce à la fois comme praticien et comme pédagogue : à l’Institut Supérieur de Naturopathie (ISUPNAT), il transmet depuis plus de 17 ans les fondements d’une santé naturelle, globale et respectueuse du vivant.
Spécialiste du jeûne, qu’il considère comme « la voie royale pour faire de la santé », il a encadré de nombreuses cures et accompagné la formation de futurs responsables de centres de "Jeûne et randonnée".
Il défend une approche subtile et intégrative de la santé, basée sur l’équilibre des cinq corps, physique, énergétique, émotionnel, mental et spirituel, pour une vitalité durable et profonde.
Avec lui, nous avons exploré en quoi le jeûne, « voie royale pour faire de la santé », dépasse la simple privation pour devenir un levier de régénération physique et mentale, comment il s’inscrit dans une vision hygiéniste du vivant, et en quoi la prise en compte du subtil, des égrégores à la conscience du corps, ouvre la voie à une santé plus globale, plus alignée… et profondément transformatrice.

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Par Solène & Thomas de FeuilleBlanche

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