Les coups de coeur de la team FeuilleBlanche !

Derrière Les Nouveaux Narrateurs, il y a FeuilleBlanche, producteur de médias, podcasts et récits stratégiques pour les marques.
Un projet à lancer ou un message à affiner ?

On en parle ?

Les coups de coeur de l’équipe en 2025

👉 Parti de rien, il va vendre sa startup Alltricks à Decathlon - Gary Anssens

“Un épisode qui m’a particulièrement touchée par la force du parcours de Gary Anssens : partir de presque rien, construire Alltricks avec courage, et aller jusqu’à sa cession sans jamais perdre de vue l’essentiel.
Un témoignage très inspirant sur la lucidité et la persévérance.”
Manoa, chef de projet média et communauté

👉 Le monde entrepreneurial peut être cruel, Luc Larry en a fait les frais

“Un homme transpirant l’humilité, ayant autant la main sur le cœur, allant jusqu’à ne pas se payer pendant plus de sept mois pour sauver ce pourquoi, et ceux pour qui il se bat, malgré une telle avalanche de difficultés, cela ne peut que forcer l’écoute et l’admiration.”
Hugo, monteur & cadreur

👉 Réinventer un métier qu’on ne regarde jamais - Marine Billiard - Groupe St Ho

“Marine nous fait re-découvrir un corps de métier souvent mis de coté, avec une approche profondément humaine et authentique à des problématiques souvent insoupçonnées dans le secteur de l’hôtellerie. Un modèle d’entrepreneuriat féminin !”
Marie-Léonore, Ingénieure du son & sound designer

👉 Si vous pensiez que les banquiers n’ont pas d’âme, vous allez changer d’avis - Laurent Garret

“Bas les masques, dans cet épisode nous découvrons une personne touchante et entière derrière son rôle de PDG d’une banque privée internationale. Au rendez-vous, du rire, des larmes, beaucoup d’humilité et un futur projet entrepreneurial ? À vos écouteurs !”
Loris Jeacomine, Réalisateur

👉 Cityscoot : De pépite de la startup nation au tribunal de commerce - Bertrand Fleurose

“Comme toujours dans Plantés, Bertrand s’est livré avec une sincérité rare. À la fois sur la douleur de voir une marque comme celle de Cityscoot s’effondrée, mais aussi sur l’après, la nouvelle façon de vivre qu’il a du apprendre à gérer.”
Jules, Chef de projet éditorial

🎧 Nos derniers épisodes 🎧

Être fils de Bernard Tapie, c’est grandir dans l’ombre d’un mythe, avec les succès, les scandales, les montagnes russes… et une question en filigrane : qu’est-ce que je fais, moi, de ce nom-là ?
Dans cet épisode de Cash Out, Laurent raconte comment il a longtemps résisté à l’idée de “refaire du Tapie”, avant de finir par marcher dans les traces de son père : reprendre une entreprise en train de couler, la retourner… et la revendre plusieurs millions à un grand groupe.
On remonte le fil : l’enfance avec un père omniprésent dans les médias, les premiers coups d’éclat, les sites et business lancés dans le sillage du nom Tapie, les deals qui montent très haut… et qui parfois s’effondrent tout aussi violemment. Il y a des anecdotes très “Tapie” : le business qui cartonne parce qu’il porte ce nom-là, puis qui dégringole du jour au lendemain quand les ennuis judiciaires s’invitent dans l’équation.
Ce chaos, Laurent va en faire une école de guerre. Il devient serial entrepreneur : boîtes créées, retournées, revendues. Jusqu’au jour où il reprend BC Finance, un acteur du rachat de crédits en train de couler, quasiment un boulet dans les comptes d’un grand groupe. Là, il fait du Tapie pur jus : restructurer, industrialiser, remettre les équipes en ordre de bataille… et transformer un gouffre financier en machine rentable prête à être rachetée.
Il ne cherche pas à vendre. Mais quand un acquéreur arrive, il sait qu’il tient quelque chose : une boîte redressée, des chiffres solides, et surtout, l’expérience de vingt ans de montagnes russes. Il raconte la négociation, les offres qui montent, le moment où le prix bascule de “intéressant” à “je ne peux pas raisonnablement dire non”.

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La France peut-elle encore peser dans l’IA avec des champions tricolores au niveau mondial ? Parmi les prétendants au titre, il y a H Company, souvent appeler H. Avec une levée de fond record annoncé il y a 2 ans à Vivatech, H était sur les rangs. Dans la foulée, 3 des 5 associés annoncent leur départ. En juin dernier, c’est Charles Kantor, fondateur et CEO, qui quitte l’entreprise. C’est dans ce contexte de promesse ambitieuse et de contexte interne complexe, que Gautier Cloix reprend les rennes de H. Là où les géants de l’IA se concentrent sur les chatbots et les LLM, il a décidé d’investir un autre terrain : l’IA agentique. Des agents qui voient l’écran, bougent la souris, tapent au clavier, remplissent un formulaire, enchaînent les actions comme une petite équipe invisible derrière votre curseur. Pour l’instant sans concurrent, H Company avance avec une méthode simple : on repère d’abord les problèmes pour créer ensuite des “androïdes” sur mesure pour y répondre. Une tâche, un agent IA dédié. Dans cet épisode, Gautier nous raconte son arrivée et ses premiers discours aux collaborateurs : comment rassurer, comment s’intégrer et comment affirmer sa vision. Mais il revient aussi sur son parcours : de prof de maths dans un lycée et en prison jusqu’à passer 10 ans chez Palantir, et son arrivée chez H pour retrouver l’atmosphère des débuts dans un projet ambitieux.

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Dans un train un vendredi d’octobre, son téléphone sonne. À l’autre bout du fil, une phrase qui fait basculer une vie : « Vous êtes en cessation de paiement. »
Quand elle crée son ESN responsable en 2021, Anaïs est enceinte de sa fille Paola. Elle a un bon poste, un diplôme rassurant, une carrière tracée. Mais elle ne supporte plus l’idée de travailler dans un monde qui ne lui ressemble pas.
Alors elle repart de zéro, avec un PC posé dans un coin de bureau prêté par un ami, à Lille, au milieu de 250 ESN déjà installées. « Il y en aura 251 », répond-elle.
Les premiers clients arrivent, les premiers talents aussi. En trois mois, elle ose un coup de poker : racheter une autre société, à crédit, avec une caution personnelle. Le DAF qui l’accompagne est aussi directeur de la banque qui finance l’opération.
Sur le moment, tout fonctionne. Tech’ Talents devient intégrateur Salesforce, passe de 1 à 21 personnes en un éclair, franchit le million d’euros de chiffre d’affaires. Anaïs se voit déjà à 15 ou 20 millions, avec d’autres acquisitions et une belle levée de fonds en vue.
C’est justement pendant la préparation de cette levée que tout explose. Le 27 octobre 2023, dans le train, on lui annonce qu’il manque des centaines de milliers d’euros dans les comptes. Une erreur comptable d’abord estimée à 150 000 €, puis réévaluée à 180 000 €.
Une seule issue est alors possible : la cessation de paiement et le tribunal de commerce. Quarante-cinq jours pour sauver ce qui peut l’être.

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(Re)Découvrez le média Fertiles

Le podcast qui brise les tabous sur la fertilité, et permettre de raconter tout haut ce que beaucoup vivent en silence

« Vous n’êtes pas stérile… mais votre spermogramme est catastrophique. »
Avant d’en faire un spectacle, cette phrase et cette annonce ont été un coup de massue pour Mehdi Djaadi.
Humoriste et comédien, habitué à faire rire des salles pleines, il encaisse ce jour-là un diagnostic qui vient percuter de plein fouet sa virilité, sa foi et son désir de fonder une famille.
Dans cet épisode de Fertiles, il revient sur ce rendez-vous qui a tout fait basculer : les résultats incompréhensibles, ce mot qui résonne en boucle, le cognac avalé au comptoir juste après, et la culpabilité qui s’invite dans le couple. Pour celui qui a grandi dans un univers patriarcal, entre héritage musulman, conversion au christianisme et modèle du « père qui tient la famille », l’infertilité masculine vient tout remettre en question.
Mehdi raconte aussi la naprotechnologie et ses gommettes de couleur, les soirées à demander à sa femme si « la glaire est plutôt jaune ou rouge », l’examen du spermogramme vécu entre honte et absurde, la découverte d’un varicocèle et la possibilité d’une opération sur « la zone la plus protégée du corps masculin ». Avec son humour et sa pudeur, il met des mots sur ce que vivent beaucoup d’hommes… et dont on ne parle quasiment jamais.
Et puis il y a les fausses couches, à répétition. La « couleur framboise » qui donne son titre à son spectacle, les bébés étoilés qu’on a déjà aimés, les arrêts de grossesse qui s’enchaînent, le silence autour, le manque de reconnaissance de ce traumatisme pour les femmes comme pour les hommes. Mehdi raconte combien ce parcours l’a forcé à regarder autrement les femmes, leurs corps, et surtout leur force.

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(Re)Découvrez le média The Human Hack

Le podcast qui explore dans chaque épisode, les liens entre santé intégrative, performance et conscience du vivant – chez les leaders, entrepreneurs et professionnels engagés

Journaliste, autrice, conférencière et formatrice, Florence Servan-Schreiber a largement contribué à faire connaître la psychologie positive en France. Formée auprès de Tal Ben-Shahar à Harvard, elle explore depuis plus de vingt ans comment nos émotions, nos liens et nos habitudes influencent non seulement notre bonheur, mais aussi notre santé, notre créativité et notre capacité à traverser la vie.
Son approche repose sur une conviction essentielle : le bonheur est une compétence qui s’entraîne. À la croisée des neurosciences et de l’éducation émotionnelle, elle met en lumière l’importance de la gratitude, du sens et de la relation comme leviers de bien-être durable.
Loin des injonctions à “penser positif”, elle défend un rapport réaliste, nuancé et incarné à la joie, fait de vulnérabilité, d’essais-erreurs et de pratiques quotidiennes qui transforment progressivement notre façon de vivre.
Dans ses conférences et formations, elle porte un message clair : le bonheur n’est pas un luxe, mais une ressource stratégique, personnelle, relationnelle et collective, capable de transformer durablement notre énergie, notre créativité et notre manière d’être au monde.
Avec elle, on a exploré comment le bonheur soutient notre énergie et notre performance, pourquoi notre cerveau s’attarde davantage sur le négatif, et comment comprendre le rôle biologique, psychologique et culturel du bonheur permet d’en finir avec les injonctions, d’apaiser notre rapport à la réussite et de retrouver un équilibre durable au quotidien.